Ce mardi, Keren Serero, fondatrice d’une entreprise d’événementiel et de Marketing, est montée la première sur la scène de la Salle du Sénat du Collège Académique de Netanya. Le regard franc, la parole assurée, cette titulaire d’une licence en Business souhaitait raconter tout ce que les études au  NAC lui ont apporté. Les portes ouvertes, les compétences transmises, l’esprit d’initiative insufflé…
La 2e édition du Kenes La Atid,  « Congrès de l’avenir » permettait à cette ancienne élève du NAC aujourd’hui partie prenante de la vie économique israélienne d’adresser un message fort aux étudiants de la Prépa Business et Finances. Croyez en vous et… en l’Alyah !

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“Le NAC, un suivi parfaitement adapté à mon profil”

Jeune mariée, Keren s’est inscrite au NAC en Licence de Business.  Sa première impression : l’accueil chaleureux du NAC, pour elle et son mari, inscrit en cursus « Banque et Finance ». Une aventure familiale, d’autant qu’elle a découvert les joies de la maternité pendant cette licence. Elle se souvient de la patience infinie des professeurs à leur égard, quand la barrière de la langue ne « permettait pas toujours de maitriser tous les termes techniques du cursus étudié ».

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« J’avais peur des grandes universités ; j’aurais été perdue dans une grande fac !» confesse-t-elle. « Au NAC, j’ai trouvé la compréhension et le suivi adapté à mon profil ».

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“Les Français : quelque chose en plus pour réussir en Israël”

Aujourd’hui, son entreprise collabore avec le bureau du Premier Ministre sur des projets ponctuels ainsi qu’avec le Ministère du Tourisme israélien.

Son meilleur conseil aux participants du programme Massa Prépa Business et finance ? « Demandez-vous toujours quoi vous êtes meilleurs que les autres ? » Rechercher sans cesse « l’avantage concurrentiel ». Pour Keren, la culture française représente ce « petit plus que je possède sur par rapport aux Israéliens ».

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Se remémorant l’intervention – ou plutôt le show – de Michael Golan,  organisée par le NAC, elle raconte avoir été frappée par la question d’une personne de l’assistance : « Est-ce que vous ne pensez pas que les Israéliens nous détestent avec notre accent? »  Sans réponse alors, Keren réplique aujourd’hui : « je pense que la culture française est notre grand atout ». «  Il faut du travail, ce n’est pas facile au début mais quand on se donne les moyens on peut toujours y arriver ».

Le fameux aide toi, le ciel t’aidera version israélienne.

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