Salomé est une jeune fille pleine de ressources. Le bac en poche, après un premier job dans l’immobilier parisien, elle a opéré un virage à 180 degrés. Cap sur Israël et l’élévation spirituelle. A Jérusalem, plus précisément, dans le cadre paradisiaque de la Midrasha Bat Tsion et de son programme Massa dirigé par la Rabanite Sylvia Maruani. Elle nous raconte son année, ses coups de coeur et ses rencontres avec une multitude de bonnes âmes. Mais surtout avec elle même.

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1. L’idée d’une année l’étude en midrasha en Israël

J’ai voulu consacrer une année à l’étude de la Thora et la découverte d’Israël. J’ai voulu comprendre ce que représentait vraiment Israël mais également donner un sens à mon identité juive . La religion a toujours été importante pour moi mais je manquais de connaissances et de motivation pour évoluer. J’ai voulu changer et me plonger dans l’étude de la thora. Je ne connaissais le pays seulement sous un angle de vacances et je tenais à découvrir Israël autrement.

2. Le choix du programme Massa Bat Tsion

J’ai opté pour le programme Massa Bat Tsion plus particulièrement grâce à son ouverture d’esprit. J’ai senti que l’on m’accepterait telle que je suis tout en me poussant à évoluer le plus possible. L’objectif du programme est clairement l’évolution spirituelle et c’était ce que je cherchais. Cela dit, j’avais besoin de savoir que je ne serais pas jugée et qu’ils me feraient confiance. C’est d’ailleurs ce qui s’est passé, je suis donc très heureuse de mon choix.

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3. Les cours de thora de la Midrasha Bat Tsion

Je définirais les cours de Thora de la midrasha Bat Tsion comme variés et intéressants. Nous étudions sur texte paracha, halahot (loi juive), mais également les midot (Qualités humaines), l’homme et la femme, etc.

En dehors du fait que l’on nous enseigne beaucoup la pratique du judaïsme, on nous apprend surtout comment approcher la Thora et les Mitzvot.

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4. La thora d’Israël

J’ai remarqué un très net changement par rapport à l’enseignement reçu en France : l’importance capitale de la Terre d’Israël. Les Rabbanim nous livrent des écrits qui affirment que la place du peuple juif est en Israël. Je dirais qu’en France, Israël est plus présenté comme une « option ».

5. L’encadrement made in Bat Tsion

Nous sommes très bien encadrés : deux directeurs et deux madrihot sont tout le temps présents. On sait que l’on peut compter sur eux quel que soit le besoin (logistique, personnel, administratif, etc).

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6. La Rabanite Sylvia Maruani, directrice de la Midrasha

Madame Marouani est à mes yeux un exemple de femme. Elle reflète ce qu’elle nous enseigne.

C’est une femme à l’écoute, qui peut se montrer très compréhensive. Elle sait aussi manifester son mécontentement quand il le faut mais toujours avec pédagogie et douceur. Elle n’est jamais dans le jugement et a établi un lien de confiance dès le début du programme avec nous.

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7. L’Anecdote qui marque

Yom yerushalaim était une journée très marquante à mes yeux. J’ai été vraiment émue et époustouflée par le nombre de personnes réunies pour cette marche jusqu’au Kotel et par cette Simha constamment présente !

Le fait de marcher seulement entre femmes m’a aussi énormément marqué ; j’ai vraiment apprécié de pouvoir chanter et danser dans les rues de Jérusalem sereinement.

8. L’intégration facile en Israël

C’est un programme qui est particulièrement chargé en Oulpan. Ça m’a donc beaucoup apporté au niveau de l’hébreu, surtout que je suis arrivée à un niveau plus que médiocre.

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9. Le campus de la Midrasha

Nous habitons dans un campus avec des filles de plusieurs nationalités (israéliennes, américaines, espagnoles, etc) donc l’environnement est propre à l’échange mais c’est à nous de faire l’effort d’aller vers les autres.

10. Les plans sur la comète

Je compte, bien évidemment rester en Israël et faire mon Shirout Leumi (Service Civil) dans une école à Jérusalem. Je suis convaincue que je dois consacrer un an de ma vie à Israël. C’est aussi une mentalité que j’ai apprise grâce au programme, celle qui donne la priorité au sens du partage et au don. Le contraire d’une mentalité occidentale parfois trop individualiste.